mercredi, octobre 19

Tenace...

... la rancune. Oui j'ai la rancune tenace. On peut dire que je m'en vante; ca ne me dérange pas plus que ca, d'avoir ce défaut marqué sur le front. Il faut bien souffrir de quelque chose et cette "chose" me va bien. je suis rancunière et je n'oublie pas.

Imaginons qu'avant de mourir, je dispose d'un peu de temps pour régler mes comptes. En dehors de passer du temps près de ceux que j'aime (bambinos en top position), j'aimerais vraiment discutailler avec certaines personnes dont j'ai croisé le chemin. Question de rancune, question que non j'ai vraiment beaucoup de mal à pardonner et surtout à oublier, question de tout mettre à plat avant de partir pour de bon... Si seulement c'était possible. Ah qu'il est bon de rêver!...

Mais par la même occasion, j'aimerais aussi m'excuser auprès de pas mal de personnes. Parce que parfois méchante, indifferente, colérique, rancunière (justement!), non solidaire, absente, radine, moqueuse, soupsonneuse, entêtée, ingrate... un peu de de tous les défauts possibles (ou presque). Comme pour soulager ma conscience mais aussi épiloguer aprés des décisions plus ou moins lourdes de conséquences, mettre un point final à des histoires parfois importantes, parfois bidons et dont plus personne (à part moi) ne se rappelle encore.

Et vous? Quelle est votre idée du pardon? De la rancune et du ressentiment?...



mardi, octobre 4

Un temps pour agir...

Pour moi qui déteste perdre mon temps, le bilan de ces derniers mois n'est pas reluisant du tout. Pire: il est horrible. J'ai honte... En bref, je n'ai rien fait ni concernant mon mémoire, ni à propos du boulot, ni pour mes kilos et le manque de soin que je m'accorde perso.


Je tire la sonnette d'alarme, MA sonnette d'alarme; je viens de faire je-ne-sais combien de boutiques et de friperies dans le but de m'acheter un pantalon. Pronostics: deux noirs et un d'une autre couleur ou à rayures. Résultat des courses: rien. Niet. Nada. Prout. Et pourquoi? Parce que mes fesses et moi, on est trop larges pour cadrer même dans un taille 44. La honte...

Ils sont où mes beaux discours, mes posts sur Zermati et compagnie, mes recherches approfondies sur la best méthode pas chiante pour retrouver mon joli petit corps d'antan (petit, bon ok disons "moins-pas-petit", pour se rapprocher au mieux de la réalité). En gros, je suis vraiment devenue informer et ca me pèse.

J'ai failli prendre mon aprèm pour essayer de me retrouver. Passer un moment seule avec moi-même, essayer de trouver des solutions a ma situation. Mais à vrai dire, je connais déjà les armes à employer. Le truc c'est que j'ai la flemme, la bonne grosse et revancharde flemme de bouger mon petit doigt.

Aucun effort, aucun sacrifice, je me complais dans une bourgeoisie mal placée. Pourtant quelque part, je me dis : "C'est pas moi ca; je suis une battante moi, non?" Mais dans les faits, ca ne se voit pas.

Je pense que j'ai gravement besoin d'un bon gros coup de pied dans le Q et personne n'est mieux placé que moi pour y mettre la bonne intensité. Ok, c'est une image; je parle d'un coup de pied au Q psychologique. Pas d'une taloche dans mon popotin physique, merci.

Alors que vais-je faire de positif après ce tout petit post destiné à me chiffonner un peu?
Tenir un journal de ce que je consomme day by day?
Tenir une courbe hebdo de mon poids pour voir où j'en suis, comment j'évolue?
Me remettre au sport (basket et mon vélo à la maison)?
Me préparer des encas équilibrés pour les déjeuners en semaine?
Limiter les excès pour de vrai?

Oui on va commencer par là. C'est vrai aussi que mettre tout cela en pratique en même temps, c'est un peu dur... Justement je viens de lire un article de "Devenir grand" qui conseille de se donner de nouvelles habitudes, mais une à la fois. Pour lire l'article, c'est par ici (oups j'ai perdu le lien...). Alors, disons que je vais essayer cette méthode et puis on en reparle dans une semaine, ok?

Keep it up!