mardi, février 22

Les sisterlocks que je vais me taper, je te dis pas!

Depuis mon dernier post, je suis (j'essaye!) plus à l'écoute de mon appétit et de mon ventre. C'est encore comme les montagnes russes; je peux réguler envies et besoins pendant 36 heures et puis c'est la cata gastronomique en moins de deux! Mais question moral, je gère. La maladie de la balance c'est fini! Une pesée hebdo et pas de moral à zéro pour un kilo de plus. Je me dis juste qu'il partira quand son heure sera venue. Pourvu que ce ne soit pas à la dernière (heure!)...

Par manque de temps, fini aussi le sport en salle. J'aimais pas mal l'effort de une à deux heures de step et aérobic trois fois par semaine, mais vu que je planche (enfin!) sur mon mémoire, vraiment plus le temps. Je rentrais détendue, souple mais si fatiguée de mes séance de sport que j'allais illico au lit et n'étais plus assez disponible pour mon Monsieur et les enfants.

Alors, entre autres résolutions, j'ai cet objectif numéro un: rédiger, déposer et soutenir mon mémoire d'ici fin Mai. Pour y arriver, voici mon traitement de choc: notre directo a récemment annoncé que le délai final pour les mémoires est fixé à fin Juin 2011 pour nous tous, vieux étudiants de la vieille, promotions du grenier. Traitement de choc, je vous disais!

Après notre deuxième bébé (L), je me suis coupé les cheveux. J'en avais fini avec le défrisage quelques mois plutôt alors, oui j'ai big chopé! En Octobre 2009. Alors pour sabrer mon mémoire, je me lockserai (y a-t-il encore une place à l'Academie Française?)! C'est cool, non? pour un avant-goût, je vous laisse cette adresse: http://going-natural.com et bien sur le blog du cheveu crépu par excellence http://cheveux-ebene.forumactif.com/.

lundi, février 7

Un résumé sur la méthode Zermati

(cliquez sur le titre pour accéder à la source de cet article)

En conclusion, pour maigrir vous pouvez manger ce que vous voulez, des frites, du chocolat ou du pâté, à condition que vous les consommiez en ayant faim. Ce qui suppose que vous sachiez reconnaître le moment où vous avez faim et le moment où vous êtes rassasié. Voilà donc les seules questions que vous ayez besoin de vous poser pour maigrir : ai-je faim, est-ce bon, ai-je du plaisir, ai-je assez mangé.

Ce qui fait grossir: c'est toute la nourriture consommée après le rassasiement qui peut vous faire grossir si elle n'est pas régulée. Et ceci quel que soit l'aliment. Un radis consommé après le rassasiement peut vous faire grossir. Une barre de chocolat consommée quand vous avez faim se trouve à sa place et ne vous fera pas grossir.

Une petite métaphore : on peut imaginer la faim comme une représentation de la jauge d'essence de votre voiture qui vous indique de faire le plein quand les réserves de carburant sont épuisées. Quand le réservoir est plein (rassasié), la moindre quantité d'essence, fût-elle contenue dans un dé à coudre (le radis), sera en trop. En revanche, quand le réservoir est vide (la faim) vous pouvez tranquillement verser un jerrican tout entier (le chocolat) il trouvera sa place et sera même le bienvenu.

Il s'agit maintenant de retrouver la sensation du rassasiement et de devenir capable de s'arrêter de manger au moment où les besoins énergétiques sont couverts. Chaque fois que vous avez mangé sans faim ou au-delà de votre faim, c'est de la nourriture en trop qui vous a fait grossir ou empêché de maigrir.
Supposez maintenant que vous appreniez à manger selon votre faim, c'est toute cette partie de votre nourriture qui devient inutile et disparaît. Cette réduction calorique, qui se fait sans effort, est la source de votre amaigrissement et vous permettra de vous stabiliser à votre poids d'équilibre.

Avant toute chose, il s'agit de prendre conscience de ce que vous ressentez en vous interrogeant sur vos sensations alimentaires. Vous constaterez que trois situations se présentent:
  1. Vous ne ressentez aucune sensation. Cette situation est rare et évoque le plus souvent un manque d'attention de votre part.
  2. Vous percevez des sensations confuses que vous avez du mal à identifier. « Ai-je faim ou envie de manger » ou encore, à la fin du repas, vous éprouvez un manque, mais est-ce encore de la faim ou encore de l'envie ?
  3. Enfin, vous ressentez précisément une sensation dont vous ne tenez pas compte. « Je sais que je n'ai pas faim mais je mange quand même » ou bien « je sais que j'ai assez mangé mais je ne m'arrête pas » .
Vous n'allez plus vous contenter d'observer vos sensations alimentaires. Cette fois, vous ferez même tout votre possible pour tenter d'en tenir compte. Ainsi, si vous n'avez ni faim ni envie de manger, ne mangez pas. Supposons que vous ayez consommé un important dîner, vous pouvez très bien vous réveiller le matin suivant en ayant ni faim ni envie de manger. Dans ce cas, n'hésitez pas à sauter votre petit-déjeuner. À cet instant, vous recevez une information de votre corps qui vous informe qu'il n'a pas fini de brûler le dîner de la veille et qu'il lui faut encore un peu de temps pour finir de le digérer. Votre estomac n'a pas encore totalement évacué son contenu et vous réclame du temps pour terminer son travail. Vous êtes normalement censé lui accorder ce temps. Si, au contraire, vous décidiez de manger malgré l'absence de faim, cette nouvelle nourriture ne pourrait être utilisée et serait mise en réserve.

De la même façon, vous recevrez aussi des informations au cours du repas. Au beau milieu d'une assiette, un signal vous informera que vous avez assez mangé de ce plat et qu'il est temps pour vous de vous arrêter. Là encore, il faudra essayer de s'arrêter. Ainsi, si vous êtes attentif à vos sensations alimentaires, elles pourront vous conduire à :
o Sauter complètement certains repas.
o Décaler les horaires des repas.
o Manger entre les repas.

Vous constaterez, en vous comportant ainsi, que vous ne pouvez, ni ne devez, tenir compte des croyances alimentaires qui vous imposent la fréquence ou la répartition des repas. Dorénavant, pour réussir, vous devrez:
  • manger quand vous avez faim;
  • ne pas manger quand vous n'avez pas faim;
  • vous arrêter quand vous êtes rassasié;
  • ne plus respecter des quantités préétablies d'aliments;
  • consommer ce dont vous avez besoin en fonction de votre faim.  
À partir de maintenant, vous allez accorder la priorité absolue à vos rythmes biologiques et à votre horloge interne.

vendredi, février 4

Pourtant j'ai dix mille fois lu dans divers sites et magazines bien informés: "Trop d'interdits risquent de provoquer un effet inverse : la personne craque complètement, perd tout contrôle et mange encore davantage les aliments qui lui étaient interdits".


Mais voilà, j'ai voulu jouer la maligne, ma détermination à maigrir ne m'a pas aidée dans le bon sens et je me suis engagée lundi dernier à suivre le régime Dukan. Mal m'en a pris puisque je n'ai pas tenu 48h. Sur le moment, un lourds constat d'échec. J'ai vraiment déprimé et mon mari l'a bien ressenti mais je n'ai pas eu le courage de lui en parler. A ce moment là j'avais trop honte de moi: honte d'avouer que je m'étais mise au régime et honte d'avouer que c'était "trop dur" pour moi. Alors je me suis tue.


Comment j'ai fait pour lâcher? Déjà depuis le week-end, je ne pensais QU'À ÇÀ: le régime. Qu'est-ce que je peux manger? Qu'est-ce que je peux pas manger? Ouh un bonbon, c'est joli, ça fait saliver mais j'y ai "pas droit" "pour le moment"... Faut que je tienne bon... Le poids va descendre quand je remonterai sur la balance... Comment je vais accommoder des protéines pures sans même un légume?!... C'est nul, vivement Samedi et les légumes!... Au moins les légumes, avant les fruits d'ici quoi, deux ou trois mois... mais c'est pas possible manger autant de jambon... Même avec l'édulcorant, ça passe pas... Il me faut du sucre... Je vais virer folle... Du sucré, pitié...


Et alors mardi après le boulot, j'avais mille questions en tête, j'ai pesé, re-pesé le pour et le contre, traversé en taxi trois boulangerie sans férir et demander au chauffeur de s'arrêter, pour finalement, une fois à la maison, prendre le temps de faire un superbe gâteau au chocolat. Gâteau dont j'ai dégusté, oui savouré, c'est le cas de le dire, le quart (avec les garçons! lol) accompagné d'un verre de lait sucré d'un morceau.


Là je me suis sentie vraiment mieux. Toute la fatigue que je ressentais de plus en plus (heureusement que je ne suis pas allée à salle de sport depuis lundi!), l'abattement général, la baisse de tonus, tout ça s'est atténue. J'ai dormi comme un gros bébé et quelques jours plus tard, me revoici de bonne humeur.


Alors... Le bilan. Fin de Dukan, c'est clair. Mais ma résolution demeure: puisqu'il me faut perdre du poids pour me sentir mieux dans mon corps, mon intention reste donc de mieux m'alimenter à partir d'aujourd'hui. Dans la foulée, je suis tombée par hasard sur des blogs parlant du "non-régime" Zermati. Je détaillerai (ou pas!) une prochaine fois mais cela va pouvoir m'aider dans ma nouvelle démarche. Déjà je me suis "tapé" une bonne tarte aux fraises hier! lol Je vous dis pas le plaisir!


Bisous!

Le site Calories.pro

J'ai essayé ce lien Calories.pro et ça m'a bien plu. Facile de calculer rapidement les calories consommées dans la journée, ainsi que les besoin en fonction de l'âge, le sexe, l'activité... Il y a même une option pour les plus jeunes.
Ma seule inquiétude, c'est la précision du nombre de calories par produits. Par exemple, un carré de chocolat au lait pour une certaine marque peut faire (disons au pif) 30Kcal alors que pour une autre marque on aurait 45Kcal.
Enfin, le résultat obtenu est toujours à prendre avec des pincettes mais plus on est précis dans les données fournies, mieux le résultat se rapprochera de la réalité!

Voici un essai, j'ai inséré mon menu pour la journée d'hier:

mardi, février 1

Elle est où Euphorie?!

We must deliver what we sold!

Plusieurs des blogs que j'ai traversé (fleuves, mers, veaux, vaches, cochons!) parlaient de ce fameux état d'euphorie que l'on connaît généralement vers deux ou trois jours de PP Dukan. Alors je guette mon corps, je suis mon état d'esprit et de corps à la trace pour surgir au bon moment sur cette "fameuse euphorie" (heu je l'ai déjà dit çà non?...).

En fait j'ai pas trop le moral. J'ai du mettre un holà sur le sport en salle en plus du grand holà au chocolat et compagnie. Et c'est duuuuur. Je dois freiner mes envies, et Dieu sait que j'en ai des envies... Un petit Snicker siouplè... Un tout petit...

Hier soir j'ai enfilé 4 bonnes tranches de jambon, deux yaourts 0% et fini ma gîte de midi. C'est vrai que je me suis mise au lit très tard mais çà pour la fringale, ça ne m'a pas aidée. Pas du tout. Je me suis retrouvée à minuit en train de mettre mon poulet à mariner pour le lendemain.

Ce matin, oeufs brouillés (3, mais oui 3 oeufs!) et un thé Citron Lipton. J'ai un pot de yaourt 0% bien au frais en cas de fringale. Et pour midi une espèce de soupe au poulet (sans peau, sans graisse, sans crème, sans beurre, sans huile, sans lait même!) mais je l'ai beaucoup mieux assaisonné que la gîte d'hier. Donc c'est quand même un repas gourmand.

Je reste à l'affût de signes d'euphorie; il faut vraiment que mon moral remonte d'un bon cran. Faire cinq jours de P, ca ne sera finalement pas easy du tout! Vivement samedi! Que je fasse une razzia au marché aux légumes! Et alors... à moi soupes, sautés et ratatouilles, gâteaux de légumes et lasagnes de courgettes! J'ai hâte.

I have to keep it up.